Oradour : l’exploitation politique d’un mensonge historique (ép. 2)
reynouard
Published on Jun 16, 2021
Dans ce deuxième épisode, Vincent Reynouard synthétise les arguments les plus forts réunis depuis 1993 et qui réfutent avec éclat l’histoire officielle du drame d’Oradour.
On découvre que, le plus souvent, les fabricateurs de la thèse officielle ont eux-même apporté l’eau au moulin révisionniste. Car ils ont menti très maladroitement, cachant des pièces dont ils avaient révélé l’existence, n’ayant pas prévu que des révélations surviendraient fatalement, etc.
Le fiasco de la thèse officielle exposé en 33 minutes !
Plan de l’épisode
III. Oradour, village sans maquis ? Un mensonge
1. Un témoignage compromettant disparaît subrepticement
2. Un maquis structuré à Oradour
3. Le témoignage écrit de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité
4. Len Cotton : les révélation d’un aviateur de la RAF caché à Oradour en 1942
5. Des maquis partout autour d’Oradour
IV) La mission véritable des Waffen SS le 10 juin à Oradour
1. Récupérer un prisonnier, anéantir le PC du maquis, prendre des otages
2. Des dépôts clandestins de munitions dans les maisons
3. Les maquis et l’utilisation des clochers pour cacher des armes
a. Le Phosphore ;
b. Les douilles WRA 9mm ;
c. Le clocher d’Oradour, pas un cas unique ;
4. Le déroulement du drame à Oradour déduit des témoignages et des constats matériels
5. Des gardiens de la mémoire réduits au mensonge le plus grossier
a. Une thèse inepte
b. Les « aveux » des anciens Waffen SS
c. Madame Rouffanche ruine la thèse
d. Des Waffen SS soucieux de plaire à l’Accusation